Innovations technologiques, évolution des modes de consommation et de commercialisation, accès illimité aux connaissances : la transformation numérique, accentuée par la crise actuelle, a engendré une transformation importante de l’économie… mais également une révolution des métiers, des compétences et de leur gestion.
Toutes ces tendances ont renforcé l’importance de la fonction Learning & Developement, qui joue désormais un rôle de plus en plus stratégique au sein des organisations du secteur de la santé animale, et doit se transformer pour devenir un levier majeur d’attractivité et de compétitivité.
Transformer son approche L&D : un enjeu de taille
Pourquoi travailler sur la formation et le développement de carrière au sein de son entreprise ? Parce la définition d’une stratégie L&D ambitieuse aura un impact capital sur votre personnel et vos processus commerciaux. La fonction Learning & Development va en effet jouer un rôle stratégique au sein de votre entreprise en santé animale dans 5 domaines clés.
1. Un réel atout pour la rétention des talents
Aujourd’hui, former ses salariés est non seulement un facteur de performance pour l’entreprise, mais aussi le moyen le plus sûr d’éviter le turnover, la capacité de formation étant un argument de recrutement et de fidélisation des talents de plus en plus fort. La plupart des candidats privilégient en effet les entreprises qui proposent un parcours de formation cohérent, en particulier ceux des générations Y et Z.
2. Le développement des compétences… et de la compétitivité !
En 1987, on estimait la durée de vie moyenne d’une compétence à 30 ans ; aujourd’hui, la durée de vie d’une compétence se situe désormais entre 12 à 18 mois, voire beaucoup moins dans certains secteurs. Les nouvelles technologies accélèrent en effet l’obsolescence d’un certain nombre de métiers, mais aussi l’obsolescence des compétences. Face à ce phénomène, les entreprises doivent nécessairement permettre à leurs collaborateurs de « rester dans la course », en concevant des stratégies de formation visant à améliorer leurs compétences techniques mais aussi en leur apportant les « soft skills » indispensables à l’entreprise de demain : communication, gestion du temps, leadership, créativité …
3. Un impact indéniable sur l’engagement collaborateur
L’impact positif de l’engagement collaborateur sur la performance de l’entreprise n’est plus à démontrer ; aujourd’hui, on ne peut plus compter uniquement sur ses produits ou services pour se différencier de la concurrence. Or, la façon la plus importante de mobiliser ses équipes consiste à leur donner l’occasion d’apprendre et de développer de nouvelles compétences. La recherche a en effet démontré que l’apprentissage constant est au cœur du bonheur professionnel. Un salarié auquel on fournit les armes pour réaliser ses missions et la possibilité de développer de nouvelles compétences et d’évoluer dans son cheminement de carrière est un collaborateur qui restera engagé au sein de son entreprise… et lui apportera une valeur supplémentaire.
4. Le renforcement de la culture et des valeurs
A mesure que la main-d’œuvre de nombreuses entreprises devient de plus en plus virtuelle et dispersée à l’échelle mondiale pour certaines, l’apprentissage et la formation peuvent contribuer à bâtir une culture axée sur le partage de valeurs communes et un sentiment d’appartenance à une communauté. Encore une fois, les Millennials notamment ont des attentes assez fortes sur ce point vis-à-vis des organisations : le salaire n’est plus suffisant pour attirer les jeunes talents, qui sont surtout attirés par les entreprises ayant un véritable engagement sociétal et proposant une réelle qualité de vie au travail.
5. Un argument pour la marque employeur
La marque employeur est l’application au domaine RH du concept de « marque » et va de pair avec l’image globale de l’entreprise. Au moment où de nombreuses entreprises sont confrontées à une véritable « guerre des talents », c’est une notion particulièrement importante… à laquelle la fonction L&D peut fortement contribuer, puisqu’afficher une politique de formation active est une formidable vitrine pour la marque employeur.
Vous l’avez compris, la fonction L&D peut représenter un vecteur de progression pour toutes les fonctions de votre entreprise en santé animale. Mais comment transformer votre approche de la formation afin qu’elle devienne un véritable levier de performance ? Voici quelques pistes dans l’article : Comment mettre en place une approche L&D gagnante ?
Transformer son approche Learning & Development dans l’industrie de la santé animale
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Innovations technologiques, évolution des modes de consommation et de commercialisation, accès illimité aux connaissances : la transformation numérique, accentuée par la crise actuelle, a engendré une transformation importante de l’économie… mais également une révolution des métiers, des compétences et de leur gestion.
Toutes ces tendances ont renforcé l’importance de la fonction Learning & Developement, qui joue désormais un rôle de plus en plus stratégique au sein des organisations du secteur de la santé animale, et doit se transformer pour devenir un levier majeur d’attractivité et de compétitivité.
Transformer son approche L&D : un enjeu de taille
Pourquoi travailler sur la formation et le développement de carrière au sein de son entreprise ? Parce la définition d’une stratégie L&D ambitieuse aura un impact capital sur votre personnel et vos processus commerciaux. La fonction Learning & Development va en effet jouer un rôle stratégique au sein de votre entreprise en santé animale dans 5 domaines clés.
1. Un réel atout pour la rétention des talents
Aujourd’hui, former ses salariés est non seulement un facteur de performance pour l’entreprise, mais aussi le moyen le plus sûr d’éviter le turnover, la capacité de formation étant un argument de recrutement et de fidélisation des talents de plus en plus fort. La plupart des candidats privilégient en effet les entreprises qui proposent un parcours de formation cohérent, en particulier ceux des générations Y et Z.
2. Le développement des compétences… et de la compétitivité !
En 1987, on estimait la durée de vie moyenne d’une compétence à 30 ans ; aujourd’hui, la durée de vie d’une compétence se situe désormais entre 12 à 18 mois, voire beaucoup moins dans certains secteurs. Les nouvelles technologies accélèrent en effet l’obsolescence d’un certain nombre de métiers, mais aussi l’obsolescence des compétences. Face à ce phénomène, les entreprises doivent nécessairement permettre à leurs collaborateurs de « rester dans la course », en concevant des stratégies de formation visant à améliorer leurs compétences techniques mais aussi en leur apportant les « soft skills » indispensables à l’entreprise de demain : communication, gestion du temps, leadership, créativité …
3. Un impact indéniable sur l’engagement collaborateur
L’impact positif de l’engagement collaborateur sur la performance de l’entreprise n’est plus à démontrer ; aujourd’hui, on ne peut plus compter uniquement sur ses produits ou services pour se différencier de la concurrence. Or, la façon la plus importante de mobiliser ses équipes consiste à leur donner l’occasion d’apprendre et de développer de nouvelles compétences. La recherche a en effet démontré que l’apprentissage constant est au cœur du bonheur professionnel. Un salarié auquel on fournit les armes pour réaliser ses missions et la possibilité de développer de nouvelles compétences et d’évoluer dans son cheminement de carrière est un collaborateur qui restera engagé au sein de son entreprise… et lui apportera une valeur supplémentaire.
4. Le renforcement de la culture et des valeurs
A mesure que la main-d’œuvre de nombreuses entreprises devient de plus en plus virtuelle et dispersée à l’échelle mondiale pour certaines, l’apprentissage et la formation peuvent contribuer à bâtir une culture axée sur le partage de valeurs communes et un sentiment d’appartenance à une communauté. Encore une fois, les Millennials notamment ont des attentes assez fortes sur ce point vis-à-vis des organisations : le salaire n’est plus suffisant pour attirer les jeunes talents, qui sont surtout attirés par les entreprises ayant un véritable engagement sociétal et proposant une réelle qualité de vie au travail.
5. Un argument pour la marque employeur
La marque employeur est l’application au domaine RH du concept de « marque » et va de pair avec l’image globale de l’entreprise. Au moment où de nombreuses entreprises sont confrontées à une véritable « guerre des talents », c’est une notion particulièrement importante… à laquelle la fonction L&D peut fortement contribuer, puisqu’afficher une politique de formation active est une formidable vitrine pour la marque employeur.
Vous l’avez compris, la fonction L&D peut représenter un vecteur de progression pour toutes les fonctions de votre entreprise en santé animale. Mais comment transformer votre approche de la formation afin qu’elle devienne un véritable levier de performance ? Voici quelques pistes dans l’article : Comment mettre en place une approche L&D gagnante ?